By: Maxime Decout

Type: essay

Note: génial

Finished at: 2023â‹…07â‹…03


Essay or novel? justement le livre se nourrit de leur (non-)différence

Le roman policier
La psychanalyse
La littérature (ou comment mener en bateau son lecteur)
La littérature à règle, ou jeux (oulipo)
Les mots (le langage, représentation du vrai ou détournement?)

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Dans anti-métarécits
Les romans policiers cathartiques, tout vas bien à la fin, les coupables arrêtés, la justice rétablie.
Et les anti-, où l’enchevêtrement des intrigues, des coïncidences, du hasard s’intensifient, où la raison fini par disparaître (Buton, Perec, Echenoz)

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De l’assassinat considéré comme un des beaux-arts, Thomas de Quincey.
C’est qu’il y a, entre l’assassinat et l’art, ce point commun d’une maniaquerie sans nom: une mise en scène, une allégeance à des règles strictes, un même rituel accompagné d’une même prise de risque.

(? Roman La Décomposition, Anne F. Gerréta: élimine un a un les personnages d’A la recherche du temps perdu, roman trop long pour notre courte vie, selon une contrainte oulipienne)

Recherche de sens ou «Désir herméneutique extrême» .
La débauche herméneutique et conspirationniste a sombré tout entière du côté de l’enquête textuelle.

La Disparition en tant que réédition de La "Lettre" Volée, sous notre nez et pourtant invisible pour tous les personnages

Les limites du roman policier: lorsque le Coupable ou la Victime est le Narrateur, l’Auteur, ou le Lecteur.

Les méta-enquêtes et les jeux de tromperie de l’auteur, connus du lecteur, qui sur-trompe, etc. Jusqu’à finir en une ambiguitée floue (Echenoz) ou complètement auto-reflexive (Roubaud, et *)